RENCONTRE de SECTEUR à GRON
Vendredi 26 Octobre nous sommes allés à Gron pour une rencontre U.S.E.P. Les enfants de Marsangy de Gron étaient là aussi. (ANTHONY PORCHERON)
 

L’ATHLÉTISME

 

Au lancer de balles, j’étais avec Guillaume. J’ai lancé la balle qui a franchi vingt mètres et Guillaume a noté. Ensuite, c’était à son tour, et il a lancé la balle à vingt mètres comme moi. Et on est passé à une autre activité. EMMY LEGENT

Au lancer de cerceaux il fallait lancer le plus loin possible. Trois plots étaient posés sur le terrain, un bleu à dix mètres, un jaune à vingt mètres et un rouge à trente mètres et au delà c’est quarante mètres. Dans le jeu de lancer il y a un lanceur et un juge qui doit écrire les distances où l’objet est tombé. Après avoir lancé l’objet, le lanceur va la rechercher, il revient et il change de rôle, le lanceur devient juge et le juge devient lanceur. JULIEN PAQUET

Il y a trois sortes de lancers  le lancer de javelot, de cerceau et de balle. Sur un terrain long de plus de 40m, on avait posé un plot jaune à dix mètres du bord, un plot vert à vingt mètres du bord et un rouge à trente mètres du bord. On lançait la balle le plus loin possible. Quand tous les joueurs avaient lancé leur balle, l’animateur nous disait d’aller la rechercher. Nous étions en équipes de deux : un joueur tirait la balle, l’autre la regardait et notait la performance de son camarade sur un papier. Nous tirions et notions chacun notre tour. Nous avons effectué 4 tirs chacun. AURELIEN RENARD

                 
J’ai fait de la course de haies. Au début nous nous sommes entraînés à franchir les haies. Une dame a rapproché les haies. Et la fin on avait 6 secondes pour franchir le plus de haies possible. ANTHONY CHICANNE
La course de haies c’était bien. On courait pendant 6 secondes sur un parcours de 8 haies. J’ai franchi 5 haies en 6 secondes. Avant on s’était entraîné sans être chronométré. Ces haies étaient à la hauteur de notre genou. Dans mon équipe il y avait Dimitri, Lucie et moi et d’autres enfants que je ne connaissais pas. ALEXANDRE FONTES

On a commencé par franchir des haies. Au début on a commencé par s’entraîner. Puis la dame nous a expliqué un jeu. C’était de franchir des haies en six secondes. Moi j’ai franchi 5 haies en six secondes. Lucie a franchi 5 haies comme moi Alexandre a franchi 4 haies et Aurélien en a franchi 5 en six secondes et les autres je ne sais pas. DIMITRI HEGGERICK
   
     

Le KORFBAL

     
La règle du korfbal est un peu la même que le basket. Sur le terrain de basket partagé en deux parties égales, cinq équipes de deux joueurs s’affrontent. Mais on ne peut pas changer de côté. Sur une partie du terrain se trouvent des attaquants et des défenseurs. Parmi les deux joueurs celui avec dossard est attaquant et celui sans dossard est le défenseur. Mais de l’autre côté c’est l’inverse celui avec dossard est défenseur et celui sans dossard est attaquant. Le but des défenseurs avec dossards c’est d’empêcher les attaquants sans dossard de marquer. Dès qu’ils ont la balle, ils doivent la passer aux attaquants avec dossards pour qu’ils marquent. La même chose pour l’autre équipe. Nous n’avons pas le droit de marcher avec la balle, ni de dribbler, on doit se faire des passes. Dès qu’on marque, les équipes changent de côté, ceux qui étaient défenseurs deviennent attaquants. ALEXANDRA GEOFFROY

On a fait du korfbal. Les défenseurs étaient en vert et les attaquants sans rien. Dans l’autre camp c’était l’inverse. Le terrain est partagé en deux parties égales avec un panier dans chacune. Le match commence avec un entre deux. Un attaquant d’un camp et un défenseur de l’autre camp qui changent de côté. L’arbitre lance le ballon en l’air et chacun essaie de taper dans le ballon pour l’envoyer à son camp. On n’a pas de dribbler. Dès qu’on tient le ballon on ne peut plus marcher, on doit le relancer à son partenaire pour atteindre le panier et marquer le point. Si les défenseurs attrapent le ballon, ils le lancent à l’autre camp et c’est l’autre camp qui attaque. JORIS ROTT

Le jeu qui m’a plu s’appelle le korfbal. Un défenseur doit empêcher que attaquant marque le pagne Vous croyez que c’est comme le basket… Mais pas du tout : on n’a pas le droit de dribbler. Ce jeu m’ a plu. Un autre jeu m’a fait rire, il s’ appelle le Kin Ball. C’est une grosse balle qu’on ne doit pas laisser tomber. DAVID ROUSSEAU

         
   

Le HOCKEY

   
Jean-Jacques nous a appris à jouer au hochey. Au début nous avons pris une crosse et une balle chacun. Puis nous nous sommes mis par deux. Je me suis mis contre Dimitri et à chaque fois je lui prenais la balle. Puis on s’est par trois à deux contre un. J’étais encore avec Dimitri. Nous nous sommes mis ensemble avec la balle contre le troisième. Puis nous avons fait un match les bleus contre les rouges. J’étais avec les rouges. On a fait match nul mais les rouges ont failli marquer deux buts. Aurélien BARBIER
                 
 

Un NOUVEAU SPORT :

le KIN-BALL

 
Nous avons commencé par le nouveau jeu qui s’appelle le kin-ball. Ça se joue avec une énorme balle qui mesure 1,23m de diamètre. Nous avons formé trois équipes de quatre : une équipe était en rouge, une autre en vert et la dernière en blanc.

L’équipe rouge tient le ballon en l’air. Le but du jeu c’est de ne pas laisser la balle tomber par terre. L’équipe rouge appelle l’équipe blanche et lance le ballon. L’équipe qui est appelée doit le rattraper. Si l’équipe blanche ne rattrape pas la balle, les deux autres équipes ont un point.

Vous croyez que c’est facile ? Et bien, pas du tout ! On ne peut pas tenir la balle tout seul parce qu’elle est trop grosse, elle glisse des mains, il faut toujours s’entraider pour la tenir. JULIE BARBIN

Le KIN-BALL

                   
   

Le JEU de MIME

   
Une dame nous a fait faire des jeux de mime. Elle nous a fait imaginer qu’on avait un ressort géant devant nous et nous devions nous appuyer dessus puis retirer nos mains du ressort. Elle nous a ensuite fait prendre plusieurs attitudes quand on voyait quelqu’un comme:le dégoût, l’étonnement, la peur, ou la colère. Nous avons ensuite fait semblant de monter sur une scène, en mimant quelqu’un comme:Charlot ou un militaire et même des animaux. Une fois sur la scène, nous disions:

– J’aime les bananes ! ou bien – Je n’aime pas les bananes !

en prenant une autre attitude comme :l’idiotie, la vanité, la crédulité ou l’ivresse. LUCAS LANGE

L’activité que j’ai préférée c’était le jeu de mime. D’abord on marchait et quand on rencontrait quelqu’un en face, on faisait un bruit comme «Oooooh !» pour montrer qu’on était étonné. Puis on annonçait j’aime ou je n’aime pas les bananes en faisant semblant d’entrer en scène tristement ou joyeusement.

Enfin quelqu’un devait faire une grimace et la faire passer. ANTHONY PORCHERON

Nous avons fait quatre sports : le korfbal, des lancers, des courses de haies et le jeu de mime.

On est passé au jeu de la grimace. Un garçon faisait une grimace et il la transmettait à son voisin. Après la dame nous a dit d’une manière amusante : « J’aime les bananes » et nous devions prononcer la même phrase mais d’une autre manière.

GAËTAN TOLET

         

LISTE des ACTIVITÉS

 

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