RANDONNÉE &

JEUX TRADITIONNELS

Mercredi 27 Mars, nous avons accueilli 130 enfants de tout le département de l'Yonne pour une rencontre USEP de randonnée et de jeux traditionnels que nous organisions...

     

La PRÉPARATION

Pendant plusieurs semaines, nous avons joué au gouret pour préparer une rencontre U.S.E.P. Nous avons creusé plusieurs trous dans la terre pour y jouer. Le lundi 25 mai nous avons tracé plusieurs marelles sur le terrain rouge. Nous nous sommes servi de cordes pour tracer droit, puis nous avons décoré des palets en les coloriant.

Nous avons déjà repéré les chemins que les 130 élèves de l’Yonne devront parcourir le jour de la rencontre.

Les enfants pourront jouer au gouret. Le jeu consiste à défendre son trou du rouleur qui va tenter d’envoyer une balle dedans. A l’aide d’une crosse, on poussait cette balle assez loin pour éloigner le rouleur. Aurélien RENARD

 

Nous avons préparé des jeux comme le gouret, le sorlin et la marelle. Lemaître a creusé des trous pour le gouret et on nous a prêté des crosses. Pour le sorlin nous avons préparé des boîtes de conserve que Julie a apportées. Lundi 25 on a tracé les marelles sur le terrain rouge comme au Moyen Age avec des cordes. Des élèves de la classe ont apporté des craies et des palets. Nous avons suivi un petit parcours pour nous repérer avec le balisage. Nous avons appris comment nous diriger avec les balises. DAVID FRANÇOIS

 

Un lundi après-midi, avec Chantal, nous avons pris une carte IGN pour apprendre à nous repérer sur les chemins. Deux enfants nous guidaient sur l’itinéraire que nous devions parcourir, tout en observant les balises peintes en bleu, jaune ou rouge qui nous dirigeaient sur la bonne piste.

Nous avions appris juste avant la randonnée à regarder les signes sur la carte et à voir ce qu’ils voulaient dire sur le terrain.

GAETAN TOLET

     

Règle du gouret

7 ou 9 trous sont disposés en ½ cercle gardés chacun par un gardien. Un trou qui s’appelle le pot commun au centre. Un joueur qui s’appelle le rouleur doit mettre la balle dans un trou mais quand il la met dans le pot commun, les gardiens doivent toucher avec leur crosse le pot commun. Le rouleur va chercher un trou et le gardien qui n’a plus de trou devient rouleur.

DAVID ROUSSEAU

 

Règle du Sorlin

Il faut des boîtes de conserve, des balles et un rondin de bois

Mettre le rondin de bois au milieu puis mettre la boite de conserve dessus. Les joueurs doivent être derrière une ligne et avoir une balle et un autre joueur, le gardien, doit se mettre à côté de la boîte de conserve et les autres joueurs doivent essayer de renverser la boîte. Dès que le joueur a ramassé sa balle, le gardien peut le toucher et le joueur devient gardien.

LUCIE FRITEAU

     
Lundi nous avons tracé des marelles sur le terrain rouge.

Comme au Moyen Age on faisait des cercles avec une corde et une craie. On fait un noeud avec la craie. Au milieu on met le pied sur le bout de la corde et celui qui a la craie dans les mains tourne autour de celui qui est au milieu. ELODIE BOTIN

Tracer des marelles, c’est un exercice de géométrie. Les seules différences, c’est qu’habituellement la géométrie c’est le vendredi et pas le lundi, et la géométrie se pratique à l’intérieur et non sur le terrain de sport.

Pour les marelles rondes, quelqu’un nouait une craie à l’extrémité d’une corde, puis il posait son pied à l’autre extrémité et quelqu’un d’autre faisait tourner la craie en tendant la corde autour de celui qui la tenait, de façon à tracer un cercle. On traçait les lignes droites en suivant une corde tendue. LUCAS LANGE

     

  La RENCONTRE

Quand je suis arrivée il y avait déjà beaucoup d’enfants sur le terrain.

Alexandra, Baptiste, Mickaël et moi, nous avons animé le jeu du sorlin. Mickaël et moi nous sommes allés au château d’eau tandis qu’Alexandra et Baptiste sont allés aux Fours.

Pour y jouer il faut des balles, une boîte de conserve, et une pierre plate pour poser la boîte de conserve. Ensuite tracer deux lignes écartées d’à peu près huit mètres puis tracer un rond au milieu des limites pour poser la pierre.

Il faut au moins trois joueurs minimum, un qui garde la boîte et les deux autres sont chacun d’un côté d’une des limites et tirent chacun leur tour avec les balles sur la boîte de conserve. Quand un joueur a lancé sa balle, il doit aller à côté et essayer de la reprendre sans se faire toucher par le gardien. Mais le gardien n’a pas le droit de le toucher s’il n’a pas la balle dans la main et l’autre joueur continue à lancer la balle. Si le joueur renverse la boîte de conserve, le gardien doit la remettre debout avant de toucher un joueur. Si par malheur, un joueur se fait toucher, celui-ci devient gardien. Nous nous occupions des enfants de Grande Section et de C.P.

Il y avait des enfants qui, au lieu de jouer au sorlin, me lancaient toutes les balles en pleine figure.

Pendant que nous mangions, nous avons cru qu’une équipe de randonneurs s’était perdue mais le maître leur avait conseillé de prendre le chemin à l’envers parce que les enfants semblaient plus costauds que les autres. Léa MARTIN

     
En arrivant chaque équipe a eu un guide sauf les groupes qui fonçaient. J’ai été le guide de Migennes. Nous avons suivi le chemin rouge. Deux enfants couraient devant. Nous avons tourné et eux sont allés tout droit, mais ils nous ont retrouvés. Nous avons continué de marcher. Nous avons monté une grande côte. Nous sommes arrivés vers deux chemins, nous avons failli aller à Marsangy mais la maîtresse de Migennes a trouvé le bon chemin.

Quand nous sommes arrivés aux Fours, j’ai aperçu Alexandra et Baptiste. Nous avons mangé tous les trois dans un coin. Alexandra est repartie avec mon groupe. Baptiste et moi nous nous sommes occupés du sorlin.

La première équipe n’y avait jamais joué. Nous les avons numérotés pour que personne ne tire en même temps. A la fin, ils m’ont tous serré la main. Joris ROTT

     
J’étais aux Fours, je m’occupais du sorlin avec Baptiste. La maîtresse était avec nous.

Comme il n’y avait personne, on s’entraînait à lancer les balles sur la boîte de conserve.

Quand les enfants ont commencé à arriver, ils avaient faim et ne voulaient pas jouer mais leur maîtresse leur a dit de jouer au sorlin. Alors je leur ai expliqué ce qu’il fallait faire. Quand d’autres enfants sont arrivés, les premiers ont mangé.

Baptiste et moi étions dans un coin pour pique-niquer et Joris est arrivé, on a donc mangé tous les trois. Après avoir fini, je suis partie avec Migennes 6 faire la randonnée.

Joris m’a remplacée au sorlin et je l’ai remplacé comme guide. Quelquefois il y avait de la boue et un enfant a perdu sa chaussure. On est arrivé à la salle des fêtes vers 14h30.

J’ai rejoint Aurélien B, Dimitri, Anthony C, Julien, Corentin et Batiste B R qui jouaient à la balle aux prisonniers. Puis la maîtresse nous a tous appelés et nous a distribué une règle USEP et deux "finger", les nouveaux goûters. Bientôt nous allons recevoir un diplôme. ALEXANDRA GEOFFROY

     
 
En arrivant j’ai retrouvé les autres. Le maître était en train de donner les cartes de route aux enfants. Il y avait deux parcours : un qui mesurait 11 km et l’autre 5 Km. Guillaume et moi nous devions guider les enfants de Crain et leur maître. C’est un village qui se trouve à l’autre bout du département. Les enfants ont décidé de faire le parcours jaune. Je leur ai appris le code du balisage. Ensuite nous sommes partis. Au bout de 2 ou 3 km le petit de CP était fatigué, alors Dimitri, son maître, l’a mis sur ses épaules. Il y avait aussi des CE1, des CM1 et des CM2. Les CM1 et les CM2 étaient à la traîne et le CP et les CE1 étaient devant. A un moment nous ne voyions plus le groupe de devant parce que nous étions sur un mauvais chemin.

Dimitri a dit : « Nous nous sommes trompés de chemin. »

Sur la carte nous devions traverser une route, mais nous ne la voyions pas. Après une descente nous en avons vu une ? mais ce n’était pas la bonne. Nous étions aux Régipaux. Plus loin Dimitri a regardé les bois, les chemins et les routes sur la carte et ensuite dans la réalité c’est comme ça que nous nous sommes retrouvés au bon endroit. Heureusement le facteur nous a indiqué la route des Fours. C’était à côté des Fours que nous devions manger. A deux minutes près Aline de l’USEP, le maître et la maîtresse partaient en voiture pour nous chercher.

Une fois que nous avons eu fini de manger, le maître a dit que nous allions redescendre en voiture et que, derrière la salle des fête, nous descendrions en cachette pour faire croire aux autres enfants que nous revenions à pied.

Vers 16h15 nous avons eu les nouveaux goûters : c’était des Fingers. J’ai trouvé ça un peu écoeurant. Julie BARBIN

     
Le vingt-sept mars je suis allé à la rencontre U.S.E.P de randonnée et jeux traditionnels. J’étais responsable du sorlin, un jeu traditionnel. J’étais responsable avec Léa Martin. Il y avait Chantal avec nous. Quand nous somme arrivés au château d’eau nous avons vu un groupe qui marchait. Ils se sont arrêtés devant nous. Ils ont joué au sorlin. Un peu plus tard, quatre autres groupes arrivèrent. Puis vers 13h30min un groupe téléphona à Chantal, ils étaient aux Bobards. Nous les avons retrouvés 1h plus tard. Ils ont mangé à 15h ! Mickaël BARBIN

 

Je devais m’occuper du gouret avec Baptyste, Anthony et Dimitri. Une grande partie de la journée nous avons eu personne donc nous avons joué au gouret. Nous avons fait un match de hockey et joué à la balle au prisonnier ainsi qu’au basket. Nous avons mangé à midi dix alors que certains groupes de randonnée n’ont mangé que vers deux heures. En fin d’après midi avec les autres écoles, on a fait une grande partie de balle au prisonnier. Aurélien BARBIER

Le gouret

     
J’étais avec Anthony Porcheron, nous guidions une équipe de Migennes. Le maître nous a dit de prendre le chemin jaune. Nous devions parcourir 11km. Après nous nous sommes perdus parce que nous avons pris le chemin des V T T alors nous nous sommes retrouvés aux Bobards, et Chantal nous a rejoints en voiture. Elle a embarqué 4 enfants et après c’est un autre maître qui nous a retrouvés. ALEXANDRE FONTES

Le SORLIN

Il y avait des petits qui sont rentrés dans la cour de l’école. Baptiste et moi, nous sommes allés leur dire de sortir. Tous les autres ont écouté mais deux n’ont pas écouté. Un a fait pipi dans la cour de récréation et un est monté sur le portique. Mais moi je l’ai attrapé par les pieds et je l’ai fait descendre. Pour l’autre, on lui a dit : « Il y a des toilettes pour faire pipi ! »

DIMITRI HEGGERICK

     
Pour la randonnée, Alexandre et moi étions les guides d’une équipe de Migennes qui devait parcourir le chemin jaune c’est à dire 11km. Mais au lieu de faire 11km, nous avons parcouru 16km, car nous nous sommes perdus. A la place des balisages jaunes, nous avons suivi des flèches d’un parcours de V.T.T. et nous avons atterri aux Bobards. Heureusement, Chantal nous a retrouvés et a fait monter quatre enfants dans sa voiture. Enfin un maître a fait monter le reste des enfants dans sa voiture. Je n’ai pas eu le temps de jouer au gouret, ni au sorlin car je suis arrivé trop tard.

ANTHONY PORCHERON

     
Nous étions 130 enfants de tout le département. J’étais avec l’école de Crain. J’étais le guide avec Julie Barbin. Quand nous sommes partis, nous avons suivi les flèches jaunes. Le maître nous avait dit qu’on devait suivre le parcours jaune qui faisait 11km. Le maître des enfants de Crain s’appelait Dimitri. A la moitié du parcours, on ne voyait plus les flèches jaunes, mais il y avait aussi des grandes flèches blanches alors nous les avons suivies. Mais quand nous sommes arriver au bout du chemin nous avons découvert que les flèche que nous avions suivi c’étaient les pour le VTT. Alors nous avons demander au facteur et il nous a dit qui fallait redescendre la côte. Nous nous sommes retrouver à chaume où nous avons fait du vélo. J’ai dit au maître<< je connaîs ce chemin c’est où nous avons fait du vélo.>> Nous avons suivies ce chemin et nous sommes arriver à l’endroit où on devait pique-niquer. Le maître nous a remmener en voiture à l’école. GUILLAUME CHARLES
     

A la fin de la rencontre nous avons eu des nouveaux goûters et des règles. Les goûters que nous avons eus sont des Fingers et ils sont bons.

ANTHONY CHICANNE

 
     
 

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