J’ai fait de la lutte, des relais et du flag à Gron, le matin du vendredi 18 Octobre. J’étais dans l’équipe E.

D’abord, nous avons fait trois jeux de relais. Pour le premier, il fallait, avec le ballon entre les genoux, arriver à une balise et après, nous pouvions soit dribbler, soit le prendre sous le bras. Au deuxième jeu, nous devions lancer la balle au suivant qui nous la renvoyait, il devait alors s’asseoir.

 

Nous lancions la balle au troisième qui la relançait et s’asseyait et ainsi de suite. Quand le dernier avait relancé la balle au premier, il restait debout, le premier passait la balle à l’avant-dernier qui s’était relevé et on recommençait à l’envers.

Ensuite nous avons joué au flag. Je n’ai pas aimé ce jeu parce que ce n’était pas les mêmes règles qu’en classe. Il fallait traverser les lignes de balises jaunes en portant le ballon de rugby, mais nous avions deux foulards dans notre ceinture de pantalon. Quand l’adversaire avait attrapé un de nos foulards, on arrêtait de jouer. L’adversaire nous rendait le foulard et prenait le ballon.

Nous avons fait de la lutte. Le premier exercice était une sorte d’échauffement : il fallait se pousser avec les mains. Nous avons fait des jeux. Le premier était "les chasseurs et les tortues". Les chasseurs devaient immobiliser les tortues par tous les moyens avant qu’elles ne sortent du tapis. Ensuite, nous avons fait le jeu du "renard et du hérisson". Il fallait toucher le hérisson mais le hérisson pouvait se mettre en boule pour se protéger. Le but du hérisson était de sortir du tapis.

THOMAS POHER

 
   

Mon équipe se nommait F, elle a commencé par le lancer. C’était soit le lancer de vortex, soit de cerceaux, on devait les lancer chacun son tour.

Puis, nous avons sauté en longueur. Les distances étaient placées à 1m, 1m50, 2m, 2m50, 3m, 3m50, 4m. J’ai franchi 2m70. Ensuite j’ai fait la course de haies mais il n’y avait personne pour nous chronométrer. Au kin-ball, nous avons gagné deux matchs.

ALEXANDRE FONTES

Je n’ai pas aimé le flag car dès qu’on mettait le ballon de rugby par terre, on devait recommencer la partie. Ensuite nous sommes allés au Kin-ball. C’était une autre règle de jeu. Une équipe devait dire une couleur comme vert alors l’équipe verte devait tout de suite rattraper le ballon.

LUCIE FRITEAU

Mon équipe a commencé par le lancer de vortex et de cerceaux. Puis, je suis allé au saut en longueur. J’ai bien aimé aussi le kin-ball. Ça se joue avec un gros ballon tout rose. Une équipe doit lancer le ballon et dire la couleur d’un maillot. L’équipe qui est appelée doit rattraper la balle avant qu’elle tombe par terre. On a fait aussi des courses de haies.

GUILLAUME CHARLES

J’ai fait du lancer, du saut, et j’ai joué au kin-ball et au flag. Le flag est une sorte de rugby, mais on n’a pas le droit de se pousser. Je n’ai pas aimé le flag parce qu’il y avait de nouvelles règles.

J’ai bien aimé le lancer parce que j’ai lancé tellement loin que ça a atterri dans un autre atelier, j’ai presque assommé un professeur de sport qui était sur le terrain d’à côté.

Le kin-ball était bien parce qu’on a pu jouer longtemps. J’aurais bien voulu faire de la lutte.

Aurélien BARBIER

J’étais dans l’équipe E. Nous avons commencé par le relais. Il fallait sauter avec un ballon entre les jambes, ce n’était pas facile mais je me suis bien amusée. Puis quand on était arrivés au plot, on devait courir avec le ballon et taper dans la main de notre coéquipier.

Puis nous sommes allés au jeu du flag. Je n’ai pas aimé ce jeu car je n’ai pas touché le ballon une seule fois et aussi parce que ce n’est pas la même règle qu’à l’école. Le but du jeu est de mettre le ballon derrière deux plots éloignés l’un de l’autre. Mais le plus dur c’est qu’on a deux foulards (Les FLAGS). Si on a le ballon, l’autre équipe peut nous les prendre. S’ ils nous en ont pris un, c’est à eux le ballon .

Ensuite c’était la lutte, J’aimais bien la tortue et le chasseur. Le but du jeu c’est que les chasseurs stoppent les tortues avant qu’elles n’arrivent à l’extrémité des tapis. Ce n’était pas très difficile parce qu’on était à quatre pattes .

Léa Martin

 
         
         
         
         
         
         

 

 

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